Le député libanais Nicolas Nabil, proche du Général Michel Aoun, nous a accordé une longue interview dans laquelle il expose sa vision des événements en Syrie, en Irak et au Liban.
La fin de l’année 2013 a confirmé de manière éclatante qu’une réévaluation en profondeur de la politique américaine au Moyen-Orient est en cours à Washington. Le dernier signe a bien sûr été l’accord signé sur le nucléaire iranien et plus encore le fait-même d’un dialogue renoué entre les États-Unis et l’Iran, ennemis de (plus de) trente ans. Ce dégel entre Washington et Téhéran a le potentiel de remodeler entièrement la carte géopolitique de la région.
Contre toute attente, et après cinq jours de négociations marathon à Genève, Téhéran et les grandes puissances (États-Unis, Chine, Russie, Royaume-Uni, France et Allemagne) ont scellé, dans la nuit du 23 au 24 novembre, un premier accord historique ouvrant une nouvelle période de pourparlers sur le fond pendant six mois.
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